L’installation du comité bonheur 2 de Port Bouet à eu lieu le 17 Juillet dernier. Après son investiture, le président Kouamé Konan nous a accordé un entretien.
Bonjour président Kouamé Konan? Bonjour..
Présentez vous à nos fidèles lecteurs..
Je suis Kouamé Konan, président du Comité bonheur 2 route de Bassam. Pour tout commencé, j’aimerais dire qu’avant on se levait individuellement pour prendre les cartes. Et en 2000, j’ai croisé Irié Léandre du comité bonheur 1. J’ai eu à échangé avec lui. C’est à la suite de nos échanges qu’il m’a dit qu’il y’a le comité bonheur qui est déjà en place et qu’ils ont déjà atteint le nombre. Il fallait mettre en place le comité bonheur 2. Je lui ai dis que je suis partant. On a commencé à mobilisé, cherché les gens pour qu’ils fassent parti de ce comité. Pendant deux ans, on était entrain de voir comment mobiliser les gens pour pouvoir mettre en place le bonheur 2. C’est ce qui a été fait, c’est vrai qu’on a rencontré beaucoup de difficulté, parce qu’au niveau du championnat, les gens ne vont plus au terrain. Il était difficile pour nous de pouvoir convaincre les gens d’aller au stade et adhérer le comité. C’est Dieu qui est contrôle de tout. On a fait doucement, doucement, on a atteint le nombre, le 17 Juillet passé, on n’a pu mettre le comité en place. Actuellement, le comité bonheur 2 existe au niveau de Port Bouet. Le bonheur a engendré le bonheur 2 et ainsi de suite, le bonheur peut engendrer le bonheur 3.
L’ASEC MIMOSAS a vu le jour en 1948, vous même en tant que président du comité bonheur 2 qui vient de naitre, est -ce que vous êtes actionnaire de naissance?
Ca c’est pas une question qu’on doit posé. Sans même connaitre l’équipe, on supportait l’équipe. Etant tout petit, j’ai des amis qui sont au Mali qui supporte l’Africa. Chaque fois, on se taquine, on partait pas au terrain, on était encore petit. Depuis le bas âge jusqu’à maintenant, on supporte l’ASEC MIMOSAS. Quand je vais au stade, c’est avec la famille, quelque soit l’heure pour regarder les matchs.
Maintenant que le comité a vu le jour, quels sont les perspectives à venir pour permettre à l’ASEC MIMOSAS d’avoir du monde au stade?
A ce niveau, on a déjà commencé avec le bonheur 1 du président Didier Assouman qui est quelqu’un de dynamique. A chaque match, on essaie de faire des convois pour aller au terrain. Pour la nouvelle saison qui va commencer, on va essayer de voir si on peut aller au delà de deux convois et au niveau social, essayer de voir comment faire pour resserrer les liens, parce que l’ASEC comme on le dit, c’est une famille. Quelle stratégie mettre en place pour qu’il y’est l’entraide entre nous, parce que problème de l’un est le problème de l’autre, la joie de l’un est aussi la joie de l’autre. C’est comme ça on essaie de fonctionner pour qu’il y’est l’harmonie.
L’ASEC MIMOSAS ira à l’assaut de l’Afrique pour la deuxième fois consécutive, quels sont vos souhaits pour l’équipe jaune et noir?
L’ASEC MIMOSAS a toujours une vision, gagné des trophées hein. Cette vision ne peut pas passer inaperçue hein. Ëtre toujours au sommet. Remporter le trophée est le mot d’ordre.
Un mot à l’endroit de toutes ces personnes qui veulent adhérer à un comité?
Le mot d’ordre est simple. On s’inscrit dans la remobilisation pour permettre à l’ASEC MIMOSAS d’avoir plus de supporters au stade. Donc, toute personne qui veut faire parti du comité bonheur 2 route de Bassam, peut le faire. Parce que l’ASEC MIMOSAS est une famille et quand on est rassemblé et solidaire, on arrive à déplacer les montagnes.
Merci monsieur le président..